Je chanterai une forêt,
dessinerai deux trois allées,
où danseraient des fées zélées ;
je tisserai à points serrés –
qui s’ouvriront – des champs de blé ;
je rêverai ses yeux fermés,
embrasserai son front doré,
admirerai mon apaisée ;
quand s’ouvriront ses poings serrés,
je songerai au plein été.